1 commentaire sur “Lettre 5 de Le Bon Sens Pour Penestin”

  1.  » refuse de communiquer »
    ça , c’est sûr !!
    lire ci- dessous ….

    anecdote penestinoise et révélatrice de son climat .
    Des travaux sont en cours au hameau de Tregorvel . En fond d’ impasse, les engins de chantier sont très présents  et obligent donc à demander à pouvoir sortir sa voiture, et cela se passe toujours bien , les ouvriers du chantier étant très fair play.
    Donc, ce matin, je vais vers eux pour les prévenir de ma future sortie et tombe sur un trio de personnes dont l’ une d’elle habillée civilement .Le reconnaissant de vue , je m’approche et lui demande  » vous êtes de la municipalité ? » il me répond par l’ affirmative . Après avoir fait ma demande , je le questionne sur la pose ou non , de nouveaux lampadaires( actuellement, il y en a 4  ,ils y en aura 10. En impasse entourée de champs agricoles, je fais part de mon étonnement .  Les techniciens  me disent qu’ il faut éclairer l’accès aux habitations pour les voitures et qu’ il s’ agit  de lampadaires de 6 mètres de hauteur   .Je rétorque  que les voitures ont des phares et pourquoi pas éclairer le chemin qui prolonge l’ impasse !
    immédiatement, celui qui s’ avère être un adjoint du maire  me tourne le dos et laisse l’ un des opérateurs répondre avec le sourire  » c’ est fait( décidé) de toute façon   » puis rejoint l’adjoint et ils s’ éloignent. Le jour même , dans ma boite aux lettres, un tract de l’opposition municipale répondait aux propos visiblement mensongers d’ un tract précédent du maire.
    Et donc, je me suis dit que ce (manque d’) échange avec ce membre de la municipalité  était bien révélateur  de cette dernière. Une municipalité conduite par un édile qui contrairement à ses promesses ou dans des échanges épistolaires d’ avant campagne prônait des  » réunions de quartiers  »  ( sic), des concertations, du dialogue, des commissions  extra – municipales etc.
    Le constat est là, et on commence à en être las ;  les aménagements se font sans concertation , sans dialogue , une municipalité à l’ ancienne qui multiplie des lampadaires en pleine crise énergétique sans demander rien aux riverains concernés  , dans une impasse entourée de champs où personne ne passe ….  

    .

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